Hérault - BÉZIERS - PROVOCATION À LA HAINE : VICTOIRE DÉFINITIVE DE ROBERT MÉNARD FACE AUX PSEUDO ANTIRACISTES
Par VILLE DE BÉZIERS, le 04 Juin 2019
La Cour de cassation vient de rejeter le pourvoi de sept associations prétendument antiracistes (LICRA, MRAP, Ligue des droits de l’homme, SOS Racisme, Union des étudiants juifs de France, Maison des potes, etc.), confirmant la décision de mars 2018 de la cour d'appel de Paris. Robert Ménard est donc définitivement relaxé et ces associations politiques sont condamnées à verser 5000 euros de dommages et intérêts pour avoir accusé à tort le maire de Béziers de "provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence".
A l'origine de l'affaire, les propos du maire de Béziers en septembre 2016 dans une émission sur LCI lors de laquelle il déclarait : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 90 % d'enfants musulmans. Évidemment que c'est un problème. » Également incriminé, un tweet de Robert Ménard à propos de la rentrée des classes : « La preuve la plus éclatante du grand remplacement en cours. Il suffit de regarder d'anciennes photos de classe... »
La Cour de cassation confirme logiquement le jugement de la cour d'appel qui considère « qu'aucun des deux passages incriminés ne contenait un appel ou une exhortation, même implicitement formulée, à la discrimination, à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes déterminées, [...] ni ne stigmatisaient les personnes concernées dans des conditions visant à susciter la haine à leur égard ».
Voilà près de trois ans que Robert Ménard est traîné devant les tribunaux par un aréopage d'idéologues d'antiracistes autoproclamés. Son tort ? Oser décrire la réalité de l'immigration en France, parler franchement du changement de population dans certains quartiers de nos villes et évoquer clairement les atteintes à notre mode de vie.
Que signifie cette décision de la Cour de cassation ? Qu'il est encore possible de débattre.
Qu'il est encore permis de parler, sans filtre, d'immigration. Qu'il est encore autorisé de décrire le réel. Oui, en France, on a le droit de dire les choses, sans être honteusement accusé des pires intentions.
Ce jugement est une débâcle supplémentaire pour les officines politiques subventionnées, professionnelles du harcèlement judiciaire, qui font de l'hystérisation du débat un lucratif fond de commerce.
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